« L’humus reste encore aujourd’hui une notion méconnue des agriculteurs,
qui implique de fausses interprétations et de mauvaises décisions techniques», constate Olivier Cor, ingénieur agronome chez Lallemand Plant Care. L’interprétation du taux d’humus – et du rapport C/N- par une simple analyse de terre tous les 3-4 ans, à un instant « t », en est un exemple : « Il n’y a pas un bon ou un mauvais taux d’humus, justifie